Présentation au delà du réel.

. samedi 29 septembre 2007
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Cette semaine j’aimerais remercier les internautes égarés, commentateurs drôles et avisés de mes dernières chroniques. J’ai nommé Koren, Fry, Moon, Sibfactory et autres anonymes. Recevez toute ma gratitude car il est vraiment agréable de savoir que les mots que l’on porte, ne se perdent pas à tout jamais dans le vide intersidéral de la toile internet, mais que parfois, ces bouteilles virtuelles lancées sur l’océan numérique, échouent sur vos écrans, puis suscitent la sensibilité, l’imagination et l’intelligence des comètes que vous êtes, chers internautes.

Voila pourquoi, je décide de lever, ce jour, le voile et de vous livrer la véritable identité de ce Peimpourte qui squatte les pages de ce blog. En réalité, on m’appelle Stéphane Harris. Oui, on m’appelle et non je m’appelle Stéphane Harris. Petite nuance sans importance, pensez-vous ? Pas si sûr et je m’explique :

Il est évident que je ne m’appelle jamais personnellement. Lorsque je m’adresse à moi-même, je n’ai nul besoin de décliner mon identité, puisque je suis déjà au courant que je vais me parler intérieurement. Si tel n’était pas le cas, j’irais rapidement consulter un spécialiste, car cela signifierait qu’il y a deux personnalités en moi et que cette situation schizophrénique peut devenir explosive.

Ce nom et ce prénom dont je suis affublé, ne sont utiles en réalité, que dans le cadre de mes rapports à autrui. Ils servent à la société pour me répertorier et m’identifier (moins bien qu’un test ADN, ou qu’une puce sous cutanée, certes) ; tout comme mon numéro de sécurité sociale et autres identifiants chez l’assureur, le banquier, etc… Tous ces numéros sont utiles dans mes relations avec mon environnement. Mais il serait absurde de dire, je me numérote 0251237AB, n’est-ce pas ? Voilà pourquoi il est plus juste de dire lorsque l’on se présente, on m’appelle et non je m’appelle. Essayez autour de vous et vous verrez les réactions étonnées.

Ouais, bon d’accord, et alors, on s’en branle, me direz-vous. C’est possible…. Mais tout de même, pourquoi cette méprise, cette erreur de langage ? Ca doit bien cacher quelque chose... Donc creusons ce lapsus afin d’y découvrir un trésor, sait-on jamais.

Stéphane HARRIS, ce ne serait pas vraiment moi... Mais simplement un moyen que la société a inventé pour m’identifier, éventuellement me contrôler, voir m’asservir et me soumettre, de mon plein gré, donc... Ce serait comme…un numéro de nomenclature, un code barre. Certes, il faut bien pouvoir être identifié. Mais cette identification est-elle notre identité ? Dire je m’appelle et non on m’appelle, témoigne de notre combat intérieur inconscient mais permanent, entre notre réalité et la représentation que nous voulons nous forger à partir d’une immatriculation qui nous est donnée. Ouaouh ! On nage en pleine science-fiction ! Nous évoluerions alors, dans des matrices culturelles artificielles qui nous éloigneraient du réel… C’est du Matrix sans les effets spéciaux !

Si j’étais né dans un village africain, dans la forêt amazonienne ou encore, au pays du soleil levant ou dans celui des hamburgers géants, aurais-je les mêmes opinions, les mêmes convictions, les mêmes envies, la même manière de concevoir la vie ? C’est à dire qu’en étant pourtant le même homme biologique, aurais-je les mêmes idées et, par conséquent, accomplirais-je les mêmes actes ? Rien n’est moins sûr ! Car je suis totalement conditionné par la société qui m’a programmé, même si j’ai l’impression d’être libre dans mes pensées. C’est pourquoi comme disait Montaigne, « nous considérons comme barbare, ce qui n’est pas de notre usage ». Et puisque, comme disais ma grand-mère, « les chiens ne font pas des chats», nous sommes presque incapables de relativiser nos modes de vie, donc nous rejetons tout ce qui témoigne d’autres possibilités d’existence.

Bien donc, je reprends mes esprits… je….ne suis plus Stéphane HARRIS. Qui suis-je ? Eh bien…je suis… chroniqueur sur mz webzine… je travaille pour une multinationale… j’ai une villa sur la côte, mais je n’y suis presque jamais (trop occupé)… j’aime le golf et je roule en BMW. J’ai un chien que j’appelle Pupuce et une femme que j’appelle… Mince, encore raté ! Je n’ai fait qu’énumérer ce que je fais et ce que je possède. C’est encore se définir par rapport à des critères imposés par ma culture.

Car si j’étais né il y a 700 ans, je ne bosserais pas dans l’informatique et ne roulerais pas en BMW. J’aurais été un preux chevalier sur mon fidèle destrier ! Mon épouse se nommerait Guenièvre et non Samantha. Et merde ! Suis-je condamné à donner des images de moi, que je forge en me mirant dans l’oeil de la société qui me modèle ? Il est bien difficile de s’en détacher pour nous observer en « ethnologue de nos propres vies ». Afin de penser et vivre par nous-même et corriger les dissonances de nos existences.

Pourquoi devons-nous réfléchir pour savoir ce que nous sommes ? Réfléchir, comme le miroir qui n’est jamais la source du reflet qu’il émet. Serions-nous des miroirs ? Où est la source du reflet ?

Bon, ben, voila matière à réflexion...

Interview de Tanxxx

. vendredi 28 septembre 2007
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Whou whou whou merci dailymotion !!!
Interview de Tanxxx, graphiste, dessinatrice, illustratrice, par le journal Sud Ouest le 12 août 2007, à l’occasion de l’exposition de ses affiches de musique au salon de tatouage Le Borgne, à Concarneau.



l'itw est en plusieurs parties
+ la suite >
http://www.dailymotion.com/videos/relevance/search/Interview+de%20Tanxxx/1

La friche numérique (scopitone)

. lundi 24 septembre 2007
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On peut dire que cette année le Scopitone avait mit les petits plats dans les grands pour nous en foutre plein les mirettes. P'tit retour sur la friche numérique ...





+++ www2.scopitone.org +++

De la musique.

. samedi 22 septembre 2007
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Cette semaine, Afin de remercier le blog qui m’héberge et dont la vocation première est la diffusion d’oeuvres musicales alternatives (au grand système commercial, j’entends) et leur critique désintéressée, je vais tenter de répondre à une question existentielle majeure : QU’EST-CE QUE LA MUSIQUE ?

Oui, je sais, c’est un but difficile et périlleux, que je me propose d’atteindre. Mais rien n’est trop beau pour Mz Webzine !!!

Et pour bien commencer ma dissertation, je vais la jouer top frime, avec une citation de…j’ai oublié son nom, qui tint un jour ce propos après avoir écouté un morceau de Wolfgang Amadeus, « le silence après du Mozart, c’est encore du Mozart… ». C’est le genre de citation qui en jette un max dans les dîners en ville. Est-ce à dire que le silence est une musique qui n’a pas encore été jouée ? Abordons donc, la question de manière générale :

La musique, c’est un ensemble de sons reliés entre eux qui forment des mélodies harmonieuses…qui révèlent en nous des émotions et témoignent ainsi de leur beauté. Cela semble assez général pour paraître assez juste. Oui mais…et le silence dans tout cela ? Car enfin, n’est-ce pas le silence qui relie les sons entre eux ? N’est-ce pas la fréquence et la longueur des silences qui donne le rythme à la mélodie ? N’est-ce pas le silence qui décide donc de la longueur des notes, qui fait la différence entre une noire et une blanche. C’est encore du silence, que naît l’étendue de la gamme. N’est-ce pas du silence qu’elle s’élance ? Les sons sont des vibrations, des ondes qui agitent et déforment la plate voûte silencieuse. Tout cela est vrai et on peut en déduire une théorie explosive qui va révolutionner l’approche musicale du prochain millénaire :

LA MUSIQUE EST AU SERVICE DU SILENCE. Elle sert à témoigner du silence. Sans celui-ci, elle n’est plus. Tout, dans la musique est reflet du silence. Et l’émotion naît de la capacité qu’a la musique, à révéler le silence. Mais, même en le parant du mieux qu’il peut, l’artiste ne peut qu’habiller le silence et ainsi, le travestir. L’artiste ne peut que déguiser, que recouvrir le silence de notes. Parfois même, il ne fait que le briser. En conséquence, l’artiste ne pourra jamais égaler la pure beauté nue du silence. La musique ne sera jamais qu’une pâle copie. Et, plus elle s’approche du modèle…plus elle s’en éloigne. Voilà pourquoi, parfois, la musique nous fait pleurer. Le génie de Mozart c’est, peut-être d’avoir compris tout cela. Peut-être a-t-il réalisé qu’il n’était qu’un costumier. Du Mozart, après le silence, c’est encore le silence…

Et si MZ se mettait au blues...

. mardi 18 septembre 2007
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Voici une petite vidéo qui je l'espère plaira aux internautes qui tomberont dessus.

Matt Murphy à la guitare
Willie Dixon à la basse
Memphis Slim au piano
et si je me gourre pas...
Billy Stepney à la batterie



http://www.youtube.com/watch?v=L7nRV9LT3nk

Parabole de la vache

. jeudi 13 septembre 2007
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Il paraîtrait que, d’un point de vue du fonctionnement des boyaux de la tête, l’homme aurait tendance à exprimer haut et fort, des traits de caractère en total opposition d’avec ses traits de personnalité véritable, lorsqu’il les récuse et cherche à les combattre. C'est-à-dire par exemple, qu’un homophobe virulent aurait des pulsions homosexuelles refoulées puissantes, ou encore qu’une personne maniaque de l’ordre et du rangement, compenserait ainsi son désordre intérieur. Il faudrait de la même manière interpréter nos paroles, semble t’il. Ainsi, si je vous dis « je vous aime », il faut comprendre « aimez-moi ». Y a tout de même de quoi flipper. Que doit-on penser d’un homme en colère qui vous traite d’enc…. Et Si l’on vous martèle « je ne vous mentirais pas. Je ne vous trahirais pas. Je ferais ce que je dis et je dirais ce que je fais !», que faut-il comprendre ? Bon, après tout, moi je ne suis pas vraiment psy. Enfin si, mais plutôt tendance opathe, que ologue.

Tout ça pour en venir à une campagne de pub d’un grand distributeur breton dont l’affiche représentait la photo montage d’une espèce de centaure moderne à tête d’humain et corps de bovin à gros pis. Dont le slogan scandait sans honte : « Chez nous, on ne vous prend pas pour des vaches à lait ! » Et là, mon cerveau ne fit qu’un tour ! Bon sang mais c’est bien sur ! S’ils écrivent ceci, c’est pour ne pas être démasqués car ils pensent tout le contraire. Ils nous prennent donc pour des vaches à lait (ce qui n’étonnera personne). Etant donc, devenu une Prim Holstein et comme tout bovidé qui se respecte, je me mis à ruminer cette révélation afin d’apprendre à mieux me connaître.

De l’étude psychologique de la vache à lait dans son milieu.


Les vaches vivent en troupeau et elles broutent. Quand elles ne dorment ni ne broutent, elles s’allongent pour ruminer ce qu’elles ont brouté (J’ajoute qu’elles peuvent aussi ruminer en dormant). Quelle belle vie que celle de la vache, pense l’homme envieux. Pas de problème, elle n’a qu’à brouter. Mais c’est éluder le mal sournois et presque inconscient qui la tourmente : sa peur maladive de ne plus trouver de quoi brouter !

Presque toute l’année, la vache est parquée dans une étable, pour y être engraissée et traite. C’est l’usine en pire : y a pas l’alcool et TF1 pour tenir. Mais au printemps, c’est les vacances ! Les vaches partent en villégiature, dans les champs recouverts d’une herbe bien verte ! Il faut les voir gambader la tête haute, se dégourdir les muscles, sauter en s’étirant les guiboles, s’amouracher, bouser nonchalamment, s’encorner pour déconner, vivre quoi ! C’en est presque émouvant. Et ça broute…et ça broute !

Dans son broutage, parfois la vache relève la tête et contemple le reste du troupeau qui broute. Cela la rassure sur son destin de vache. Elle replonge donc son museau dans le gazon. Mais, quelquefois, dans son errance, elle s’éloigne et là, quand elle se redresse et qu’elle s’aperçoit qu’elle est seule, elle s’inquiète car tout un tas de questions lui monte à la tête : Où sont les copines ? Pourquoi je broute ? Paître ou ne pas paître ? A quoi servent les clôtures qui me ferment l’horizon ? Quel est ce monde qui m’est interdit ? Est-ce pour mon bien ? Qui sont les autres vaches que j’aperçois au loin ? Broutent-elles la même herbe ? Alors elle s’affole, ce qui indispose et contrarie sa digestion. Elle retourne donc vite vers ses bovines et replonge le museau dans le gazon.

Il arrive tout de même que la vache qui s’interroge sur son destin de vache essaie d’en beugler à ses congénères. Mais c’est peine perdue, car ces dernières lui demandent de se taire car on ne parle pas la bouche pleine. Mais surtout, les questions subversives risquent de contrarier la bonne marche du troupeau !

Eh oui…Et dans le troupeau, il y a d’ailleurs un chef. C’est un taureau. Pas de parité chez les vaches ! C’est habituellement le plus fort en beuglement. Chez les humains, on parlerait de rhétorique ou de communication. Il faut être malin, s’attirer des soutiens et prononcer des discours qui beuglent de pâturages meilleurs où la croissance de l’herbe, la fera plus grasse dans les champs, si l’on veut bien se donner la peine de bouser plus pour brouter plus. Car tout est dans la croissance, c’est bien connu. Et si ça ne suffit pas, on peut toujours accuser le troupeau d’en face de chercher à franchir la clôture pour manger notre herbe ! Ca fonctionne assez bien en général.

Parfois, malgré l’oppression ambiante (car il faut l’avouer, les troupeaux de vaches sont pleins de peaux de vache), il y en a une qui parvient tout de même à chercher plus loin dans sa quête. Certaines défoncent même les clôtures et refusent d’entrer docilement dans l’étable pour se faire enchaînées et traire. Mais tôt ou tard on les rattrape et on les brise! Bien souvent, elles ne font qu’accélérer leur destinée de steak haché. Ce qui semble terrifiant, c’est que même si l’une d’entre elles s’échappait de l’abattoir et parvenait à rejoindre le champ où est parqué son troupeau pour raconter ce qu’elle sait, elle passerait pour une vache folle auprès de ses congénère !

De toute manière, les vaches sont convaincues qu’ailleurs, par delà le trépas, il y a un paradis des vaches où l’herbe est toujours verte et grasse. Qu’il y a d’autres vies pour les vaches qui peuvent même, si elles sont sages, se réincarner en homme ! Voilà comment tourne le monde des vaches soumises et pusillanimes, aigries et rancunières. Toutes préoccupées à désherber la terre, elles en oublient de vivre.


Ichabod Crane - Kid Cocotte

. mardi 11 septembre 2007
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Après une démo en 2004, le groupe de Montaigu Ichabod Crane, sortait (trop) discrètement en mars 2007 son 1er album Autoproduit "Kid Cocotte". Il serait dommage de passer à coté ... voici quelques liens ...
http://www.myspace.com/ichabodcranemusic

04. Like Joan of Arc I'm burning just for you



"Kid Cocotte" live at Underground Café (Nantes) - Avril 2007

Du 18 au 23 septembre, 6ème édition de SCOPITONE !

. lundi 10 septembre 2007
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Rien de plus simple qu'une petite vidéo pour présenter cette sixième édition de SCOPITONE (Nantes, 44)!

+ d'infos :
> http://www.scopitone.org
>http://www.myspace.com/scopitone2007

Au pays des colombins

. dimanche 9 septembre 2007
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Septembre 2000. La chaleur est accablante sur « las Ramblas » de Barcelone. Je décide donc de prendre de l’altitude et gravis « las calles » sinueuses, vers le « parque Guël ». Visite incontournable pour le parfait touriste que je veux être (c’est écrit dans les guides !). Je flemmarde sur la place du parc, confortablement assis sur ses céramiques ondulantes, en contemplant l’étendue de la capitale catalane qui plonge dans la grande bleue. Plus tard, je descends le magnifique escalier loufoque qui mène à la sortie du lieu. Expérimental et utopique en son temps, le parc est aujourd’hui figé comme un musée. C’est bien dommage.

Une fois au pied de l’édifice démesurément dépaysant, j’immortalise l’instant par une photographie. Histoire d’emporter avec moi, une image palpable de mon voyage. Ces petits souvenirs emprisonnés sur papier glacé sont de formidables aide-mémoire. Même si, malheureusement, ils cloisonnent un peu notre imagination. Je circonscris donc mon regard dans l’objectif puis, satisfait, je m’en retourne vers ma sacoche et mon « bolcadillo » pour constater amusé qu’un impudent volatile s’y intéresse.

Les pigeons espagnols n’ont aucune éducation ! Mais de quel droit peut-il sans honte ni crainte, s’approprier mon casse-croûte ? Ce doit être parce qu’il a faim, tout simplement. En cela ils ne diffèrent guère des pigeons parisiens qui ne s’embarrassent pas plus des bonnes manières. Mes pensées m’emportent : Serait-ce un pigeon du Sacré-Cœur en villégiature ? Un pigeon voyageur, tout comme moi ! Lorsque nous sommes en voyage, nous avons parfois l’impression d’être pris pour des pigeons. Mais revenons à nos volatiles à plumes, pour les interrogations existentielles plus profondes et pertinentes où ces premiers questionnements me plongèrent.

Les pigeons voyageurs ont-ils autant de difficultés avec leurs congénères étrangers, que nous les hommes ? Tous les pigeons parlent-ils le même langage ? J’eus beau tendre l’oreille assidûment, je ne décelai aucun accent espagnol dans les sons qu’ils émettaient. Cette vie de pigeon me sembla d’une trivialité extrême : manger, boire, déféquer et copuler le temps venu. C’est d’un vulgaire ! Ils ne savent même pas qu’ils sont des pigeons de Barcelone, ces cons !

J’en vins tout de même à envier ces importuns qui n’ont que faire des embarras protocolaires qui nous oppressent et nous isolent, nous les humains. Car enfin, nos cultures et nos bonnes manières nous rendent-elles meilleurs ?

A t’on déjà constaté le massacre de pigeons par d’autres pigeons au nom d’un quelconque Dieu des Pigeons ? Un pays de pigeons a t’il jamais envahi un pays de pigeons au nom du bien, de la démocratie, au nom de la race des pigeons supérieurs ? Est-il possible qu’un pigeon, spécule sur le court du grain et la misère d’autres pigeons pour s’enrichir ? Un pigeonneau peut-il sauter par une fenêtre par peur d’être expulsé d’un pays de pigeons qui ne peut pas accueillir toute la misère du monde ? Notons que dans ce cas précis, le pigeonneau pourrait s’envoler et ne pas se fracasser sur le sol.

A toutes ces questions la réponse est non, tout ce qui intéresse cette pauvre bestiole, c’est boire, manger et copuler le temps venu. C’est un peu comme faîtes l’amour et pas la guerre, mais sans les shoots au LSD et autres abus de produits nocifs pour la santé.

Je braque donc mon objectif pour figer cette rencontre éphémère. Mais saurais-je saisir l’inconsciente sagesse de cette touffe de plume ? Je sais désormais pourquoi, la colombe est le symbole de la paix.

DEGUSTATIONS JUILLET/AOÛT 2007

. mardi 4 septembre 2007
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¤Récréation : Gotlib (Extrait de Rubrique à Brac)

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