La nouvelle vague coréenne déferle sur l'Europe!!!

. samedi 29 décembre 2007
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Si vous n'avez toujours rien prévu pour le réveillon et que vous êtes vraiment désespéré, appelez-les. Ils sont libres :




ça déchire non?

UNE EXCLU MZ :

. vendredi 21 décembre 2007
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NICOLAS SARKOZY VA ENREGISTRER UN ALBUM

Et c’est à MZ que le président de la république a souhaité donner sa première interview à ce sujet. C’est donc dans un immense salon de l’Elysée qu’il nous a reçu en tenue décontractée, les pieds sur la table basse. Il a commencé par nous offrir une Corona. «Jacques avait laissé quelques caisses à la cave et moi je ne bois pas» nous a-t-il expliqué.
J’étais tout ému de poser mon séant dans le fauteuil ou Arlette Chabot avait enfoncé le sien pour son interview mémorable avec PPDA. Mais si, rappelez-vous : l’interview sur Villiers le Bel, qui faisait penser à un spot de campagne électorale : Lorsque le candidat est interrogé par un pote qui fait office de journaliste pour rendre le spot plus attractif.
Mais nous à MZ, on est encore intègres et il était hors de question d’entamer notre déontologie journalistique au nom d’un quelconque pragmatisme professionnel. Alors attention monsieur le Président, pas de cadeaux, ça va saigner ! Surtout que nous, on connaît la musique !

MZ : Avec ce projet d’album, vous créez la surprise. Qu’est-ce qui peut bien motiver cette annonce ?
NS : Justement c’est ça : créer une surprise. Avec mes amis publicitaires, on était un peu à cour d’idée pour faire parler de moi.

MZ : Vous pouviez toujours parler de votre travail à la tête de l’Etat.
NS : Justement non, vaut mieux éviter au maximum. L’objectif c’est plutôt faire diversion avec des futilités qui monopolisent les cerveaux des veaux, comme disait De Gaulle.

MZ : C’est vrai qu’avec la semaine Kadhafi, on vous comprend. Se coucher devant les caprices d’un dictateur pour lui revendre des armes et du nucléaire… Il s’est bien foutu de vous et de la France, tout de même.
NS : A qui le dis-tu ! J’en ai bavé putain ! En plus, avec ses allusions sur les mauvais traitements infligés en France aux immigrés, il aurait pu paraître presque sympa.




http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20071212.OBS9708/kadhafi_tacle_la_france_sur_le_sort_des_immigres.html?idfx=RSS_notr
Vu que c’est la vérité et qu’on est parfois dans l’illégalité internationale ! Kadhafi en redresseur de torts (chapeau le mec ! il est fort en com’!) Mais bon, dans la foulée j’ai balancé ma liaison avec Carla et hop ! Oublié le Kadhafi ! Mais il n’était pas là que pour le pognon (il n’a d’ailleurs presque rien lâché, l’enfoiré). Non, j’ai aussi besoin de lui pour l’immigration.

MZ : Comment cela ?
NS : Eh bien oui, comment pensez-vous que je vais gérer les flux migratoires venant d’Afrique noire ? En la stoppant en Afrique du nord ! Il y a déjà de nombreux camps en Lybie où sont parqués des milliers d’immigrants.
http://www.infosud-belgique.info/article.php3?id_article=384
http://omarkhayyam.blogsome.com/2007/01/25/massacres-au-pays-du-colonel/


MZ : C’est donc pour cela toutes vos visites en Algérie, au Maroc ? Le nucléaire c’est un peu une monnaie d’échange.
NS : Entre autres. Mais il y a aussi le fait que mon ami Martin Bouygues s’intéresse à AREVA qui vent du nucléaire. Et les amis c’est sacré, surtout quand ils possèdent TF1.
http://www.boursier.com/vals/FR/news.asp?id=158966

http://mrc92.free.fr/GDF-SUEZ/07-Bouygues-Areva.htm
Des milliers de personnes sont déjà mortent noyées en essayant d’atteindre l’Europe. Des cadavres sur les plages, ça fait désordre. C’est une nouvelle sorte de marée noire ! Ah! Ah! (Non, pardon, ce n’est pas drôle). Donc, mieux vaut qu’ils grillent dans le désert avant d’atteindre la mer.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/europe/20070604.OBS0153/malte_se_refuse_a_etrele_gendarme_de_la_mediterranee.html
http://www.latinreporters.com/espagnesoc21032006.html

MZ : Pas très humain, comme traitement.

NS : Si, au contraire. C’est bien moins traumatisant pour les français qui n’en savent rien. Ça les fait moins culpabiliser et ils digèrent mieux quand Brice laisse tomber des clandestins par les fenêtres…


http://arretsurimages.net/post/2007/10/01/Defenestrations-de-sans-papiers-plus-ou-moins-telegeniques
Mais je vous rappelle que vous êtes là pour parler de mon futur disque.

MZ : Veuillez nous excuser…
NS : C’est Kouchner qui m’a refilé l’idée, après avoir chanté au Liban. C’est vrai, un politique qui chante, ça fait sympa. Rappelez-vous quand Jospin chantait les feuilles mortes.

MZ : Ca ne lui a pas servi à grand-chose… Vous pensez vous entourer de gens du métier ?
NS : Bien entendu ! Ce ne sont pas les candidats qui manquent ! On y a déjà réfléchit avec Johnny, avant sa retraite.

MZ : Une reprise, je crois.
NS : le refrain ça serait : toute la politique que j’aime. Elle vient de là, elle vient du flouze ! Pas mal, non ?

MZ : Et…qui d’autre ?
NS : Sardou, Enrico, Mireille, Pagny, Bruel et Doc Gynéco. J’aimerai faire un tube genre charité dont les bénéfices seraient reversés à des associations humanitaires.

MZ : Comme l’Arche de Zoé ?
NS : Ah ! Ne m’en parlez pas ! Ils auraient pu vraiment me foutre en l’air ma com’, ces cons là !

MZ : Pourquoi, vous n’y êtes pour rien ?
NS : Vous bossez pour Le Figaro ou quoi ? Vous pensez vraiment qu’on peut ramener une centaine de gamins sans papiers en avion, (dans le pays de Brice Hortefeux) et utiliser du matériel militaire, sans que le président de la République soit au courant de l’opération !
http://www.20minutes.fr/article/195788/France-Le-president-de-L-Arche-de-Zoe-menace-le-gouvernement-francais.php

MZ : Mais alors ?
NS : mais alors, ça aurait pu être grandiose ! L’idée de Rama Yade et Kouchner était assez bonne à la base. Les zozos de Zoé ramenaient les gosses. On les accueillait en fanfare à Paris. Ça faisait des belles photos à faire pleurer dans les chaumières. Imaginez ! J’aurais pris un gamin dans les bras à la sortie de l’avion avec une petite larme à l’œil… Sarko le cœur d’artichaut ! (De quoi faire oublier longtemps le ministère des expulsions et de l’indignité nationale). Mais ça a merdé grave !

MZ : Les gosses ?
NS : Oui les gosses ! A deux pas d’un génocide, les zozos n’ont pas été fichu de trouver des orphelins du Soudan ! La plupart des enfants étaient des tchadiens et avec famille en plus ! On a donc tout laissé tomber in extremis, peu avant le décollage.

MZ : Ouf…
NS : Oui, ouf ! Et grâce à une pirouette phénoménale, j’ai pu retourner la situation en allant chercher moi-même les journalistes arrêtés. Ce qui m’a permis de faire diversion sur mes soucis avec les pécheurs, je crois, à l’époque.

MZ : Et les zozos que vous avez promis d’aller chercher ?
NS : Personne ne s’en souvient désormais. Et puis tout le monde s’en fout.
http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20071208103020AA451Ps

MZ : Et les enfants ?
NS : Tant pis pour eux… ils passeront Noël à manger du sable.
http://www.rmc.fr/edito/info/22290/arche-de-zoe-que-deviennent-les-enfants-/


MZ : Vous n’êtes pas un peu trop cynique ?
NS : Ce n’est pas du cynisme mais de la « réal politique ». Bon, on parle de mon disque.

MZ : Une chanson humanitaire donc ?
NS : Oui, un peu genre : « Tam Tam pour l’Ethiopie », le tube de Renaud et Goldman, il y a un bout de temps maintenant.

MZ : Qui va faire la musique ?
NS : On ne sait pas encore, mais on a déjà le début des paroles : Tellement besoin d’amour, pour les enfants du Darfour. Tellement besoin d’amour, pour Ingrid Betancourt. Ça sonne bien non ?

MZ : Les paroles sont de Didier Barbelivien ? Vous dîtes que vous n’avez pas besoin d’argent en ce moment, il est vrai que vous pouvez vous augmenter si besoin est.
NS : Oh eh ! + 170%, ce n’est jamais qu’une petite goutte dans l’océan budgétaire de la France. Mes électeurs trouvent cela normal car ils pensent que je le mérite ! Et puis il faut me comprendre bordel ! N’oubliez pas que mes meilleurs potes sont des patrons du CAC 40. Ce sont des mecs qui touchent 15000 euros par jour ! Lorsque l’on dîne ensemble, ils se foutent de moi avec mes 20000 euros par mois.
http://www.humanite.fr/2005-05-03_Politique_-Envolee-des-salaires-pour-les-patrons-du-CAC-40
http://www.lexpansion.com/economie/actualite-entreprise/un-patron-du-cac-gagne-100-fois-plus-qu-un-patron-de-pme_118171.html


MZ : Ca doit être difficile à vivre ?
NS : Mais parfois ils me prennent en pitié. Ils me payent des vacances et ils me prêtent un gros bateau. Notez qu’il est plus solide que ceux des clandestins. Ah !ah ! (pardon). Vous imaginez si j’avais croisé une barque pleine d’immigrés sur mon yacht au large de Malte. J’aurais dû les secourir pour les faire ensuite expulser par Brice HORTEFEUX. Cocasse la situation ! Remarque, ça l’aurait aidé à atteindre ses objectifs.


http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-945473,0.html?xtor=RSS-3224
http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/elections_2007/20070509.OBS6243/les_vacances_luxueuses_de_sarkozya_malte_suscitent_des_.html


MZ : pensez vous intégrer une chanson sentimentale à l’album ?
NS : j’aimerais bien un duo avec Carla, mais j’ai trop peur qu’elle me largue avant la sortie du disque. Vous savez, elle est un peu volage.

MZ : Vous avez été assez direct dans cet interview. Vous n’avez pas peur que ça ternisse votre image ?
NS : Pensez-vous ! Ce ne sont pas les trois webnautes qui vont vous lire qui vont briser ma carrière politique ! Et puis vous savez, même si tout le pays vous lisait, il ne vous croirait pas ou bien me trouverait de bonnes raisons ou des excuses. La vérité du monde n’intéresse pas le peuple.
Je vous rappelle que le 20 heures de TF1, le plus regardé, est présenté par un homme peu fréquentable. Il a été condamné par la justice pour recel d’abus de bien sociaux. Il a trafiqué une interview de Fidel Castro. Pensez-vous que ça lui a coûté sa place ? bien au contraire ! Les français continuent toujours de le considérer comme un journaliste alors qu’il n’est qu’un de mes multiples porte-couilles.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Poivre_d'Arvor


MZ : Et après le disque, d’autres projets média ?
NS : Peut-être un remake des visiteurs avec Clavier et Réno. Ou alors un sketch avec Bigard. Il est impayable ce Jean-Marie. Je l’ai emmené avec moi voir le Pape. Il n’a pas arrêté de lâcher des pets pendant que je consultais mes SMS. Une autre Corona ?

MZ : Non merci, on a un peu envie de vomir.
NS : Bon alors on passe à table. Carla nous a préparé des pâtes.

C’est donc dans la joie et la bonne humeur que nous terminâmes la soirée. Pour le prochain interview, Monsieur le Président nous promis de nous inviter au Fouquet’s.

UNE CHOUETTE IDEE POUR LES FETES!!!

. vendredi 14 décembre 2007
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André Duracell !!!

. mardi 11 décembre 2007
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Tout aussi fou qu'un Bob Log II, voici André Duracell !
Ce monsieurjoue derrière "un concept simple mais efficace qui lui permet de
déclencher à chaque frappe de batterie un échantillon électronique puisé dans le best-of des musiques de jeux vidéos vintage (Amiga, Atari). Le résultat ressemble à un rock surpuissant revu et remixé par Super Mario Bros, la sueur en prime : une performance mieux, un exploit !"
( Le Progrès - mai 2006)

http://andrediamant.free.fr/duracell.htm

André Duracell - Ninja Spirit



André Duracell - Turrican

Enfin des chanteurs engagés

. dimanche 9 décembre 2007
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super pouvoir d'achat (La Chanson du Dimanche / saison 2-11)

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Ma déclaration

. vendredi 7 décembre 2007
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un peu d’actu qui tue pour commencer :

Vue à la télé :

La propagande télévisée présidentielle presque caricaturale, avec PPDA et Arlette Chabot en perroquet, rappelle à notre souvenir les grands moments de l’ORTF. Avec son faux air décontracté dans son fauteuil trop grand, Narcisse peut remercier vivement les émeutiers de Villiers le Bel qui lui permirent de blablater de longues et interminables minutes sur la voyoucratie et ainsi faire presque oublier le reste.

Mais oublions un temps la décadence de notre démocratie républicaine. Après tout, le peuple de France n’a que les élus qu’il mérite. Narcisse le martèle à outrance, il ne fait qu’accomplir les missions pour lesquelles les français l’ont choisi (Bien que son « big bang salarial » ne fut point inscrit dans son programme, tout comme…son incompétence)

De surcroît, rappelons que son projet n’a obtenu l’approbation que d’un votant sur trois au premier tour et que les autres l’ont pris par défaut, au second tour. Sa prétention à nous faire taire pendant cinq années au nom de son Sacre de Droit Electoral, ne tient donc pas. Je ne vois pas pourquoi je devrais être solidaire de ses erreurs et manipulations, au prétexte qu’une majorité de cons patriotes l’a préféré à… (à qui déjà ? ah oui, j’avais oublié).

BREF, j’ai la sensation désagréable que LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE PREND TOUS LES FRANÇAIS EN OTAGE

(Puisque le terme est à la mode)



Bien donc, prenons de l’altitude et tentons de répondre à une question existentielle essentielle : Mais quels sont les droits fondamentaux humains ?

Et pourquoi donc me direz-vous ? Mais parce que nous étions, voilà encore quelques mois, le pays des droits de l’homme !

Voici donc ma contribution modeste au bien-être et à l’épanouissement de l’humanité :

DECLARATION UNIVERSELLE

DES DEVOIRS ET DES DROITS

DU CITOYEN DU MONDE

Article I : Tout citoyen du monde a le devoir de respirer. De fait, nul n’a le droit de lui polluer son air. En conséquence, toute personne physique ou morale qui attenterait à la pureté de l’air et ainsi mettrait la qualité de la vie de ses semblables en danger, manquerait à ses devoirs et à ses droits.

Article II : Tout citoyen du monde a le devoir de boire. De fait, nul n’a le droit de polluer son eau. En conséquence, toute personne physique ou morale qui attenterait à la salubrité de l’eau manquerait à ses devoirs et à ses droits.

Article III : Tout citoyen du monde a le devoir de manger. De fait, nul n’a le droit d’inciter à sa mauvaise nutrition. En conséquence, toute personne physique ou morale qui attenterait aux vertus nutritives de la nourriture manquerait à ses devoirs et à ses droits.

Article IV : Tout citoyen du monde a le devoir de dormir et de se reposer. De fait, nul n’a le droit d’effectuer des prélèvements forcenés sur son temps de sommeil et de repos. En conséquence, toute personne physique ou morale qui s’attaquerait fortement aux temps de sommeil et de repos manquerait à ses devoirs et à ses droits.

Article V : Tout citoyen du monde a le devoir d’avoir un cœur qui bat. De fait, nul n’a le droit de l’arrêter de manière intempestive. En conséquence, toute personne physique ou morale qui attenterait aux battements de cœur de ses semblables, et ainsi mettrait leur qualité de vie en danger, manquerait à ses devoirs et à ses droits.

Article VI : Tout citoyen du monde a le devoir d’aimer. De fait, nul n’est en droit de le haïr. En conséquence, toute personne physique ou morale qui attenterait à l’amour, manquerait à ses devoirs et à ses droits.

Article VII : Tout citoyen du monde a le devoir de penser. De fait, nul n’est en droit d’attenter à ses capacités intellectuelles. En conséquence, toute personne physique ou morale qui chercherait à le rendre con, manquerait à ses devoirs et à ses droits.

Article VIII : Les devoirs et les droits précédemment exposés sont vitaux, naturels et biodégradables. Ils sont donc légitimes et irréfutables. Leur évidence est telle qu’il peut paraître superflu de les énoncer. Pourtant ils sont perpétuellement bafoués, ce qui témoigne de la nécessité de les revendiquer. Les admettre et les respecter relève du bon sens commun, de la morale et de l’objectivité. Force est de constater que toutes les atteintes qu’ils subissent sont commises pour des raisons subjectives, y compris religieuses, politiques ou économiques, c’est à dire vénales.

Article IX : Ces devoirs et ces droits sont communs aux existences de tous les citoyens du monde. Nos similitudes naturelles sont vitales et donc primordiales, quand nos différences culturelles sont relatives. Nos cultures ne peuvent donc pas prétendre à une quelconque primauté sur notre nature. Le respect de l’humanité commence par le respect de ses devoirs qui sont ses droits vitaux. Tel est le fondement de la dignité. Est donc respectueux, non pas l’acceptation des différences subjectives qui nous séparent et nous enchaînent, mais la reconnaissance des similitudes objectives qui nous unissent et nous libèrent.

Article Dernier : Tout citoyen du monde a le devoir de jouir d’une planète nourricière et hospitalière car cela lui est vital. De fait, il est en droit d’en respecter les lois et d’en préserver les fruits. Les lois qui régissent le monde ont permis sa diversité et cette diversité a permis l’éclosion de l’humanité. En conséquence, toute personne physique ou morale qui tenterait, pour une quelconque raison subjective, y compris religieuse, politique ou économique, c’est à dire vénale, de s’accaparer en partie ou en totalité, la planète qui l’a mis au monde, agirait de manière liberticide, attenterait à l’intégrité ainsi qu’à la pérennité de ses lois et de ses fruits et manquerait à ses devoirs et à ses droits.

Bon, c’est un peu lourd, mais c’est ça les textes administratifs. Aussi n’hésitez pas à amender ce texte. ( allez, faites-vous plaisir)

En attendant sa validation par les Nations Unies, ça peut toujours remplacer le projet de mini traité européen qu’on veut nous mettre bien profond.

Britney Jean

. jeudi 29 novembre 2007
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En attendant son interrogatoire, voici son clip artisanal, mais très réussi :


Britney Jean
Envoyé par emir dans Musique sur wat.tv

Matman begins

. jeudi 22 novembre 2007
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Amis lecteurs, bonsoir !

Je me présente, Matman, punk poète évangéliste.

26 ans, ancien ecclésiastique bodybuilder de la paroisse de Montélimar.

Vous aurez peut-être l’occasion de me lire, ce qui pourrait vous agacer ou vous faire rire.

Dans l’intention de fricasser ou de frire.

Chroniques musicales, cérébrales ou anales.


"Crie-Tique"

Un Crie à la vue d’une Tique !!

Qu’est-ce que la critique ?

Si ce n’est un vaste champ de mines que tu déclenches à ta guise de ton grès et de ta volonté.

Autrement dit, t’assassines ou tu caresses, soit sur l’échine soit sur les fesses.

Donner son avis, sans intention de le reprendre, c’est là la difficulté.

Peut-on prendre en compte un avis s’il est seul ou doit-il nécessairement faire parti d’un ensemble, avec lequel on ferait une moyenne d’appréciation ? Puisque c’est là que le bas blesse ou que le Barbès, je ne sais plus.

A partir de quand, un avis devient une critique ? Si elle est bonne on parle d’hommage, si elle nonne, on se dit dommage.

Nos opinions dépendent de beaucoup de choses, de l’humeur, de l’environnement, de l’expérience personnelle, et même de la marée.

Certains artistes disent se foutre des critiques, certains critiques disent se foutre des artistes.

Il y a ceux qui font, et ceux qui défont, ainsi font les petites marionnettes.

Matman, punk poète évangéliste

Rotterdam-22/10/07


Narcisse 140% et ses automates

. mercredi 21 novembre 2007
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En toute franchise, ça devient du n’importe quoi, tout de même.

Après la franchise médicale, Rachida nous prépare la franchise judiciaire. Et après ? La franchise électorale, peut-être... Il n’y a pas que la santé, la justice et l’éducation qui coûtent cher, les élections aussi ! On pourrait faire payer une franchise à tous les électeurs ! Où alors supprimer les élections. On supprime bien les Ecoles, les Tribunaux et les Hôpitaux !

La droite décomplexée résout les problèmes en les supprimant.

Et le pouvoir d’achat ? 140% d’augmentation c’est plus que du maintien. C’est l’explosion, le big-bang du pouvoir d’achat ! D’autant plus que c’est de l’argent de poche qui ne servira qu’à aller acheter des carambars et des Rollex chez la marchande (et régler les pensions alimentaires, il est vrai), puisque Nicolas est logé, nourri et blanchi par la République (le budget de l’Elysée sera de 100 millions d’euros).

http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/sarkozy_president/dossier.asp?ida=461270

Il avait promis de restreindre le train de vie de l’Etat que François (le Premier Automate) juge en faillite ! Trop naïf peut-être, j’ai longtemps cru que le rôle d’un Président était de montrer l’exemple. Servir et non pas se servir… La République Française est un régime très spécial.

A propos des régimes spéciaux (ok, la ficelle est un peu grosse), il y en a d’autres des privilégiés éhontés qui refusent de travailler plus pour gagner moins. 40 ans pour tout le monde, ça paraît normal. Mais 37.5 années pour tous, ça semble encore mieux, non ?

- Ce n’est pas possible, qu’on t’a déjà dit !!! Ils l’ont expliqué à la télé sur TF1 !!! Y trop de vieux qui vivent trop vieux ! Y a trop de jeunes qui foutent rien ! Y a trop de chômeurs qui ne cotisent pas ! Donc c’est pas possib’ et pis c’est tout !

- Certes…. Mais pourquoi n’a-t-on point exploré d’autres pistes ? Comme la cotisation retraite des machines qui remplacent les travailleurs. Ou encore, l’augmentation de la part du PIB pour les pensions (puisque la productivité des travailleurs a décuplé depuis la création du système). Ou encore….

- On t’a déjà dit que c’était pas possib’ !

http://www.monde-diplomatique.fr/2003/07/BULARD/10234


Grâce à cette réforme, ce serait donc 200 millions de plus par an dans les caisses de l’Etat. Ce qui ne comblera pas les 15 milliards de cadeau fiscal, pour préserver le pouvoir d’achat et éviter la paupérisation des français les plus nantis.

Et tous ces sondages qui expriment que le peuple désapprouve les cheminots. (Pas un sondage sur ce qu’il pense de l’augmentation du président. C’est étrange ?).

Toutefois, les grévistes auront réussi le plus difficile : le faire disparaître de nos écrans pendant une semaine.

Régimes spéciaux suite et fin : Quelle serait la retraite du Président ?

23.25 euros 232.5 euros 2325 euros 2.325 euros

23250 euros 232500 euros 2325000 euros 0.2325 euros

La réponse est :

http://ipol.fr/index.php?2007/09/26/472-faut-il-rformer-le-rgime-de-retraite-spcial-des-lus


Il y a une réforme qui a vraiment très bien fonctionné : c’est la réforme du journalisme. 90 % des médias possédés par quelques amis intimes du Président de la République, c’est une grande réussite tout de même. Une « succes story » berlusconienne. Attention Nicolas, souviens-toi de Narcisse qui finit par sombrer dans l’idolâtrie de son apparence pour s’y noyer.

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=28795


il y a aussi des bonnes nouvelles :

En athlétisme, notamment. Grâce à Brice et ses CRS très entraînés, la France peut devenir championne olympique de saut par la fenêtre aux JO de Pékin.

La grande messe du Grenelle de l’environnement est une réussite…en fanfaronnades.

Le recyclage du Front National en droite décomplexée est un succès.

Mais attention : Le lepenisme, c’est comme un déchet nucléaire : on ne peut que l’enfouir sans le détruire…

Allez, le meilleur pour la fin :

Echanger des infirmières contre une centrale nucléaire avec un dictateur terroriste d’un pays qui regorge de soleil et donc d’énergie photovoltaïque. Tout cela pour paraitre et offrir un gros marché à un ami premier bétonneur de France.

Mettre en scène sa future ex-femme devant les caméras, (comme on l’a déjà fait pour son couple et sa famille). La présenter comme une mère Téresa Jetseteuse et fashion victime.


Non, non, ce n’est pas de la science fiction.

C’est de la télé réalité façon Elysée.

DEGUSTATIONS OCTOBRE 2007

. lundi 19 novembre 2007
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Avec au menu :

Chroniques»

NICOLAS POLICE - SNA-FU - ARCA - KHÔL - ANTI D - BOGDANOV KILL KILL - SKYSCRAPER - RACHEL - TWO WORLDS COLLIDE - LA DIVISION MENTALE

Mz et caetera»

-Le Monde de Peimpourte »
-La Fourmi et la Cigale
-Liberté de la presse et autres frivolités
-MZ : LA CHORALE
-Les Corbeaux et les Mouettes
-La lettre de Guy Moquette

Télécharger le PDF

Non mais c'est qui ce mec !

. vendredi 16 novembre 2007
1 commentaires

Non mais pour qui y se prend ? Il a raison mais quand même, y pourrait modérer ses propos.
c'est vrai quoi !


contre grenelle de l'environnement
envoyé par rynoka

Priez pour nous pauvres pêcheurs à la…Carpe Diem

. mercredi 14 novembre 2007
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Je m’étais levé bien avant l’aurore, l’esprit abasourdi par le sommeil et j’avais laissé ma douce à ses songes. J’avais renoncé par la même, aux câlins sensuels du matin, prodigués par ma belle, pour une autre quête, inaccessible sous la couette. Je pris un café, tout engourdi de la tête aux pieds, dans la cuisine, sans faire le moindre bruit susceptible de gâcher la grâce matinée du reste de la famille. Je préparai mes casse-croûte au pâté, puis je mis des cannettes dans ma musette. Après avoir vérifié mes hameçons, ma gaule (qui n’a pas vécu la gaule du matin ?) et mes appâts, je chargeai le tout dans le coffre de la voiture, pour partir enfin vers la rivière.

Il fallut choisir un bon coin dans le froid matinal. Installer le matériel au levé du jour, à l’heure ou s’éveillent et chantent les oiseaux. Quelques violents remous à la surface, près de la jetée, et les sauts aériens désespérés de quelques alevins, m’indiquèrent que les carnassiers étaient en chasse ! Mais là n’était pas mon dessein. Ce matin, j’étais venu pour la carpe !

Je posai un joli piercing à un ver de terre, avant de l’envoyer prendre un bain. Puis j’attaquai mon casse-dalle en surveillant mon bouchon qui flottait sur l’onde couverte de brume, tout comme mes pensées. Guetter le poisson, les ouies bercés par le courant en contemplant l’astre oranger s’élever dans le ciel matinal pour chasser la lune et les étoiles. Ne penser à rien et à tout à la fois.

Voila des instants d’exception où la fée nature a le pouvoir de métamorphoser notre torpeur cervicale en méditation transcendantale !


C’est ce qui m’arriva le matin où j’ai lutté longuement avec une carpe énorme qui était vraisemblablement plus âgée que moi. Après avoir vaincu le vaillant animal, je suis resté assis près du poisson gisant sur la berge. La bête mourante d’asphyxie, perdait ses ultimes forces dans la dilatation de ses branchies et de violentes contractions musculaires, comme pour chercher vainement à atteindre la rivière qui s’écoulait à quelques pas. Cette contemplation m’inspira des pensées qui, peut-être, valent la peine d’être livrées en pâture à votre rumination.

La carpe allait mourir et je me senti terriblement vivant ! Puisque moi, j’avais encore le temps de vivre, mais combien exactement ? L’agonie du poisson me rappelant le sort qui me rattraperait tôt ou tard. Triste sort, pense certains qui préfèrent croire à un quelconque paradis, une quelconque réincarnation… Croire à ce genre de « belles histoires », n’est-ce pas croire au Père Noël qui descendra du ciel ?

Le danger de ces sornettes (sans vouloir offenser personne), c’est qu’elles nous livrent en pâture corps et âmes à la toute puissance des religions et autres sectes dont le business est de nous imposer des règles arbitraires pour nous faire gagner notre billet pour l’immortalité. Puisqu’il y a d’autres vies après la mort, il faut bien les concevoir, puis nous inculquer ce qu’il faut faire afin d’y accéder dans de bonnes conditions ! Sinon, ce sera l’enfer de Lucifer ou bien la réincarnation en lunette de toilette ou en chaussette sale ! A propos du Diable, si je replonge dans mes cours de catéchisme, c’était un ange qui refusa de se soumettre à la volonté Divine et fut condamné à l’Exil dans les mondes infernaux. Tout comme les religions qui refusent de se soumettre à la finitude de nos vies et transforme notre paradis terrestre en enfer de larme et de sang (se renseigner sur tous les crimes et massacres perpétrés au nom de Dieu, de la compassion et de l’amour du prochain). Mais la religion alors, n’est-ce pas le diable qui s’ignore ? Ainsi, on nous apprend à mourir de notre vivant et on laisse filer les bons côtés de la vie d’ici-bas, au nom d’un au-delà totalement illusoire !

De toutes les manières, il y a déjà 100 milliards d’humains qui ont vécu et sont donc morts ! Renoncer à la joie de vivre pour aller habiter dans un endroit aussi peuplé, non merci ! Bonjour la pollution et les embouteillages sur les nuages ! (Je conseille à ceux qui souhaiteraient tout de même vivre la vie éternelle, de mourir jeune. Ils conserveront ainsi une apparence jeune pour l’Eternité).




La réincarnation c’est kif kif ! Etre pris pour une vache à lait, pour être réincarné en vache sacrée...



Ne vaut-il mieux pas admettre la réalité de la mort pour chercher le sens véritable de la vie ? « La mort sourit à tout le monde, alors pourquoi ne pas l’accueillir en souriant » (pensée stoïcienne). Ce qui n’empêche pas de sourire à la vie en attendant et d’y savourer le moindre instant : Carpe Diem…

A propos de carpe donc, je suis fait tout comme elle : de chair et de sang. Je suis composé de matière et de vide. Ce sont les quatre mêmes bases azotées qui s’enlacent dans les cordons de nos ADN, qui sont le fondement de toute vie. Ne sommes nous pas identiques, dans le fond, la carpe et moi, malgré nos différences de forme ? Bien sûr que non, diront ceux qui préfèrent croire à la destinée particulière de l’homme. (Ben oui, si en plus y faut un paradis pour les carpes, les ouistitis et autres vers de terre dévoreurs de cadavres…)

La carpe, n’a peut-être pas la conscience du monde où elle vit, voilà la différence. Bon sang mais c’est bien sur, elle vit comme une idiote inconsciente de son état, quand l’homme est conscient d’exister ! Etre ou exister ? Telle est la question… et si Dieu n’existe pas, il est. (Croyants et athées enfin réconciliés ?).

Nous dirons donc que la carpe vit en toute innocence, quand l’homme a l’intelligence. La carpe se comporte en carpe sans le savoir, sans le vouloir. Quand l’homme ne veut pas réellement savoir ce qu’il est.

Finalement, l’humanité se complait d’être irrésolue, comme un malentendu. Ce qui lui permet de fuir la réalité du monde, au nom d’un monde meilleur…Mais cette innocence naturelle perdue dont la carpe jouit, qu’en avons-nous fait, nous les hommes ? Et cette intelligence dont nous serions les dépositaires, qu’en faisons-nous? Cette carpe n’est-elle pas plus proche du Dieu qui l’a créé, puisqu’elle se soumet à ses lois sans même s’interroger ? Sûr qu’elle ira donc au paradis des carpes !

Je plongeai mon regard dans l’œil du poisson pour me noyer dans tant de profondeur. Je ne sus plus qui fixait quoi, ni non plus, où se cachait l’intelligence. Je pensais que notre rôle à nous les hommes, était de contempler, d’étudier, d’apprécier et de jouir de l’intelligence universelle qui existe à travers l’harmonie du monde. Et cela à chaque instant qu’il nous est donné de vivre. Puisque le paradis c’est ici-bas.

Et comme je ne pouvais pas mettre fin à la sagesse de cette carpe peut-être centenaire. Je la pris dans mes bras. Après une longue étreinte et une photographie, je la remis à l’eau en la remerciant pour cette conversation.

Même si elle resta muette comme une carpe.

TAPASNOCTURN

. mardi 13 novembre 2007
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Episode toux : NEA

. lundi 12 novembre 2007
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Rappel des faits : Samantha se réveille avec un terrible mal de tête. Elle tente de se souvenir de sa soirée de la veille. A mesure qu’elle émerge, elle prend conscience qu’elle est nue dans un lit inconnu, avec un inconnu.


Samantha se devait d’agir rapidement. Elle se leva pour rechercher ses vêtements dans la pénombre, le plus discrètement possible, afin de ne pas réveiller le ronfleur. Elle ausculta quelques fringues sur une chaise, dans un coin de la pièce. C’était une grande robe de soirée sombre, avec un décolleté infini à en attraper un rhume de poitrine. Non, cette chose ne pouvait pas lui appartenir. Ce n’était pas son genre. Son style, c’était plutôt….des trucs moches, anti-sexy et ringards, en fait. Aucune trace de ses affaires, de ses papiers de ses clefs de maison et de voiture, ce qu’elle jugea inquiétant.

Elle continua ses recherches sur une autre chaise pour y découvrir des vêtements masculins. « Ceux du ronfleur » pensa-t-elle en se retournant vers le lit. Elle voulu découvrir qui pouvait bien se cacher sous cette couverture et pousser ces râles de pachyderme. Le serveur chinois ? Elle se prit le pied dans un textile qu'elle ramassa, en s’approchant du corps. « Ce string ficelle ne peut pas m’appartenir…il est bien trop petit pour moi ».

Le corps endormi se retourna alors dans un nouveau râle contrarié et bruyant. Prise de panique, Samantha se recroquevilla affolée derrière la chaise. « Mais c’est quoi cette histoire ? Qu’est-ce que je fais toute nue, accroupie dans cette chambre ? Il doit bien y avoir une explication rationnelle !». Rattrapée par sa migraine autant que par ses frayeurs, elle prit sa tête entre ses mains pour verser quelques sanglots.

Après quelques minutes sans bouger, prostrée dans son angoisse, elle se livra à une introspection salutaire destinée à lui faire reprendre du poil de la bête. Après tout, cette histoire tombait à pic. Elle avait 45 ans et sa vie était d’une platitude mortelle. Son avenir était déjà tout tracée : elle serait secrétaire jusqu’à la retraite, puis jusqu’à la maison de retraite, puis jusqu’au trou qu’elle avait réservé dans le cimetière communal. A moins qu’elle ne décide de se faire incinérer… en fait, il restait tout de même quelques bribes d’incertitude dans son existence. Tout était finement et merdeusement réglé dans sa petite vie qui n’était qu’une mort lente. Elle devait prendre l’incroyable aventure qu’elle vivait, comme une chance. Cette histoire allait la tirer de sa léthargie existentielle !

Elle se redressa pour s’approcher de la fenêtre et glisser un œil à travers les persiennes. Ouaouh ! A en juger par les beaux immeubles haussmannien bordant la rue, elle était dans un quartier chic de la capitale ! Rien à voir avec son deux pièces dans le neuf trois. Le pachyderme somnolant ne pouvait pas être le serveur chinois. Elle repartit en quête d’une tenue plus décente d’un pas décidé. « Aille ! » Fit-elle en se vautrant sur le parquet après avoir posé le pied sur un objet mouvant. Allongé sur le sol, elle aperçut à sa gauche une bouteille qui alla finir sa route le long de la porte. Elle avança à quatre pattes vers la bouteille de whisky qui était complètement vide. « Voila la raison du marteau piqueur qui défonce mes neurones » réalisa-t-elle.

Tout d’abord, prendre une bonne douche. Voilà ce qu’elle devait commencer par faire. Elle entrouvrit la porte de la chambre pour découvrir un long et haut couloir. Cet appartement devait mesurer dans les deux cents mètres carrés au minimum. Elle avança sur la pointe des pieds pour ne pas faire grincer le parquet, mais entendit des voix dans le lointain. Il y avait d’autres femmes et d’autres hommes ici. A nouveau prise de panique, elle se replia dans la chambre. Elle était toujours nue avec cet inconnu… elle décida de réveiller le ronfleur…

Toc, toc, toc ! Quelqu’un frappa. Toc, toc, toc « Lee, tu m’entends ? » c’était une voix de femme. Toc, toc, toc. « Lee ! répond ! » La porte s’ouvrit sur Samantha, debout, collé contre le mur. La femme aperçut la bouteille sur le sol et invectiva le ronfleur, énervée : « bordel, Lee, t’es encore complètement bourré ! Tu fais chier, merde ! » Devant l’absence de réaction du dormeur, elle se résigna « Bon, ok, on part devant car nous risquons d’être en retard. Tu sais où nous trouver » puis elle claqua la porte et s’éloigna d’un pas violent.

Samantha put relâcher sa respiration, soulagée. Elle attendit patiemment, l’oreille sur la porte, que tous les inconnus aient bien quitté les lieux avant d’esquisser le moindre mouvement. Puis elle s’assit sur le lit pour reprendre ses esprits. « La voix de cette femme me dit quelque chose… c’est une voix familière… » Ce léger indice ne la fit en rien progresser dans son enquête, mais la rassura tout de même. « Bien ! C’est qui ce Lee dans ce lit ? Elle tira les draps. L’homme était nu coucher sur le ventre. « Il semble pas mal » pensa-t-elle, en appréciant les contours de son dos et le galbe de sa croupe. « Voyons voir si c’est…» rougit-elle en faisant pivoter le corps… Stupéfaction ! Ce chinois n’était point le serveur ! Elle enfila un peignoir qui gisait sur le sol, afin de paraître décente, puis tenta de le réveiller doucement. Impossible, il devait en tenir une carabinée. Elle le secoua, puis le frappa au visage, mais elle ne réussit qu’à perdre des forces et accentuer ses ronflements. C’est alors qu’elle aperçut, sur la table de chevet, un tube de somnifères complètement vide. « Mince ! Pour une fois que je trouve un petit ami, il va me claquer dans les bras ! Je n’ai vraiment pas de veine! »

Alarmée par le risque d’être mêlée à une sale histoire de suicide ou de meurtre (Comment expliquerait-elle à l’inspecteur que c’est un inconnu, alors qu’ils viennent de passer la nuit ensemble), la pauvre réagit avec la vigueur du désespoir. Elle fila vers la salle de bain pour y remplir une bassine d’eau afin de la jeter sur le moribond et prendre une aspirine dans la pharmacie pour soigner sa migraine.

Lorsqu’elle se retrouva face à l’immense miroir, elle sursauta car elle cru apercevoir une femme derrière elle. Mais il n’y avait personne d’autre. Elle ne voyait que son reflet. La brune au beau visage, c’était son reflet. Elle laissa tomber le peignoir. Cette poitrine, ces longues jambes, cette taille fine, c’était son reflet.

Samantha ouvrit la bouche et prononça ces mots lentement : « Je ne suis pas moi… » Puis, s’étant écoutée parler elle ajouta avant de s’évanouir : « Cette voix n’est pas ma voix… »

C’est alors que le téléphone sonna… lorsque le répondeur se déclencha, une voix masculine questionna : « Néa, Néa….décroche Néa ?»

Qui est ce chinois ? Qui sont ses amis ?

Peut-on subir une opération de chirurgie esthétique intégrale, au cours d’une seule nuit ?

Pourquoi se faire opérer des cordes vocales ?

Tentative de meurtre ou suicide ?

Qui est NEA ?

C’EST A TOI D'EN DECIDER A TRAVERS TES COMMENTAIRES.

DevonMiles - 'Crash Into June'

. vendredi 9 novembre 2007
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Chronique mz
DEVONMILES - Nine Hundred
DEVONMILES-Nine Hundred
http://mz-webzine.org/chronik.php?newsid=36

Pensée du jour :

. jeudi 8 novembre 2007
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Ce que tu possèdes t’appartient-il ?

Si oui, jusqu’à quand ?

Ce qui t’appartient te possède, puisque ta vie en dépend.

[MOPA] My Own Private Alaska - I am An Island

. samedi 3 novembre 2007
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http://myownprivatealaska.com/
http://www.myspace.com/myownprivatealaska

J'aime mon président ...

. lundi 29 octobre 2007
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...
Si comme moi vous regardez la messe du 20h sur Tf1 ... on a oublié de vous dire ça ...


http://www.dailymotion.com/video/x37l14_delit-doffense-au-president-sarkozy
http://www.liberation.fr/actualite/societe/284933.FR.php



La lettre de Guy Moquette

.
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Ma petite maman chérie,

Mon tout petit frère adoré,
mon petit papa aimé,


Je vais mourir
de rire ! Car j’ai fumé un gros tarpé… ça m’aide à ne mourir que de rire. Ce que je vous demande, toi, en particulier ma petite maman, c'est d'être courageuse et de continuer à travailler plus en attendant la fin du monde. Je ne le suis pas assez et je veux l’être autant que ceux qui sont passés avant moi, comme Guy Moquet, que le président vient de fusiller une seconde fois. Moi, je ne meurs que de rire. Sarkozy, c’est quand même pas les nazies. Certes, j'aurais voulu vivre autrement. Mais ce que je souhaite de tout mon cœur, puisque ma vie ne sert à rien, c'est que ma mort lente serve à quelque chose. Je n'ai pas eu le temps d'embrasser Jean qui apprenait à tuer et à détruire sur ses jeux vidéo. J'ai embrassé mes deux frères Roger et Rino, qui apprenaient à devenir cons devant la téléréalité. Quant au véritable je ne peux le faire hélas ! Ben oui, vu que vous m’avez viré de ma piaule !

J'espère que toutes mes affaires te seront renvoyées elles pourront servir à Serge, qui, je l'escompte, sera fier de les porter un jour. C’est quand même des pompes Reebok, une casquette Nike et un survèt’ Adidas !

A toi petit papa, si je t'ai fait ainsi qu'à ma petite maman, bien des peines, je te salue une dernière fois. Sache que j'ai fait de mon mieux pour suivre la voie que tu m'as tracée. Mais comme je n’aime ni le ricard, ni le rouge, j’ai pris un autre chemin herbager.
Un dernier adieu à tous mes amis, à mon frère que j'aime beaucoup. Qu'il étudie bien pour être plus tard un homme. J’espère qu’il refusera de partir à la guerre en Iran ou ailleurs, ou de faire sauter des clandestins par les fenêtres !
17 ans et demi, ma vie a été courte, je n'ai aucun regret, si ce n'est de vous quitter tous. Je vais mourir à petit feu en me fusillant le cerveau, avec Tintin, Michels. Maman, ce que je te demande, ce que je veux que tu me promettes, c'est d'être courageuse et de surmonter ta peine. D’une certaine manière, notre époque ne veut pas de nous.
Je ne peux pas en mettre davantage car j’ai plus de feuille et je suis trop explosé. Je vous quitte tous, toutes, toi maman, Serge, papa, je vous embrasse de tout mon cœur d'enfant. Courage ! Il n’est peut-être là que pour cinq ans.

Votre Guy qui vous aime

Episode ouanne : ETRANGE REVEIL

. vendredi 26 octobre 2007
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Samantha émergea avec un terrible mal de crâne ce matin là. Un timide rayon solaire se glissant dans l’usure d’un vieux volet en bois, vint heurter sa paupière pour l’arracher du pays des rêves vers le monde des vivants. Elle resta longtemps les yeux ouverts, le regard figé sur le plafond, la conscience encore engourdie. Mais pourquoi ce mal de tête tonitruant ?

Qu’avait-elle fait cette nuit, pour être dans cet état ? Et puis, quelle heure était-il ? Elle plongea machinalement son bras droit sous le lit à la recherche de son réveil matin, dont le trop bruyant tic tac l’empêchait habituellement de s’endormir, mais sa main ne heurta point l’engin. Trop épuisée, comme aspiré par son lit, Samantha renonça à sa quête pour repartir dans sa torpeur douloureuse. Quel jour était-on ? Lundi matin…peut-être. Mince, le boulot ! Non, rien à faire, elle était vraiment patraque. De plus, elle n’était même pas certaine que l’on s’aperçoive de son absence, alors.

A force d’efforts et de concentration, des souvenirs refirent surface, morceaux par morceaux. Elle était sortie faire une balade hier après-midi. Dans les bois, elle avait longtemps marché seule. Ça lui avait fait le plus grand bien… oui, mais à part ça…rien. Ah mais si ! Elle s’était offerte un chinois à midi. Pas un homme, non, un restaurant chinois. Et ce mal de crâne qui n’en finissait pas. Et quelle heure était-il au juste ? Ils allaient s’inquiéter au boulot, tout de même. Samantha replongea sa main sous le lit, avec toute l’énergie qui lui restât, à la recherche de son gros réveil mécanique et sa main trouva quelque chose : un magazine. Etrange, elle n’était pas du genre à bouquiner le soir dans son lit.

La faible lumière tamisée de la pièce lui permis quand même d’en découvrir la couverture et d’y déceler une….femme à poils ! Mais que faisait-elle avec cette femme à poils sous son lit ? Jamais de sa vie elle ne s’était procurée un magazine de femmes à poils ! Son bras se tendit vers la table de chevet à la recherche de l’interrupteur de la lampe qu’elle ne put trouver non plus. Le bras vaincu retomba et sa main traîna sur le sol. C’est certainement une amie qui lui avait fait cette petite blague de mauvais goût. Laquelle ? Non impossible, elle n’avait pas d’amie. Cette révélation douloureuse la replongea dans sa torpeur en la vidant de toute son énergie restante. Elle referma les paupières à la recherche de sa journée d’hier.

Le dimanche matin, elle s’était réveillée complètement déprimée à l’idée de ne pas savoir que faire. Ah oui, elle s’était abrutie d’antidépresseurs afin de retrouver une pêche artificielle, puis elle avait voulu téléphoner à ….personne. « Flippant tout de même, ma vie de merde », se dit-elle, lucide. « Il était plutôt pas mal et très souriant, le serveur au restaurant, quand j’y repense ». Elle figea son regard, rêveuse, sur le lustre au plafond. « Il est beau ce lustre. Il me faudrait le même dans ma ch… »

Samantha eut un choc émotionnel terrifiant et se redressa violement ! Ce lustre n’était pas dans sa chambre hier. Elle n’était donc pas dans sa chambre ce matin. Ce lit n’était pas son lit…tout comme le magazine. Et son réveil ne pouvait donc pas se trouver sous ce lit ! Tout comme sa lampe sur la table de chevet ! Paniquée, elle se blottit à nouveau au creux du matelas, n’osant plus qu’à peine respirer, de peur de découvrir encore des détail inquiétants. Elle frissonna soudain, de peur et de froid à la fois. « Je n’aurais pas dû dormir toute nue » regretta-t-elle. TOUTE NUE ! Mais jamais de sa vie elle n’avait dormi nue ! Elle ne pouvait se passer de ses pyjamas en flanelle ! Il avait vraiment dû se produire des événements bizarres, hier au soir, pour qu’elle se retrouve nue, dans un lit inconnu, avec un mal au crâne à se frapper la tête sur les murs et un dos très douloureux (elle ne supportait que son matelas, spécialement conçu pour elle).

Elle se remit à chercher dans sa mémoire, mais ses pensées retournèrent sur l’image de ce serveur souriant. Mais enfin, saperlipopette ! Qu’avait-elle bien put faire, hier ? Et ces ronflements sourds qui l’empêchaient de réfléchir sérieusement ! Des ronflements à sa gauche… des ronflements humains qui n’étaient point les siens… ELLE ETAIT DONC NUE DANS UN LIT INCONNU AVEC UN INCONNU ! Quoique très inquiète, cette dernière révélation n’était pas faite pour lui déplaire. Ce n’était pas tous les jours, ni même tous les mois, ni même tous les ans, qu’elle pouvait prendre un peu de bon temps…

FIN DU PREMIER EPISODE

Samantha mérite-t-elle vraiment sa vie merdique ?

Pourquoi n’est-elle point chez elle ce matin ? A-t-elle été expulsée aux prémices de l’hiver ?

Quel est cet inconnu sympa et désintéressé qui lui prête son lit ? Pourquoi ronfle-t-il ? Prépare-t-il une thèse ou un doctorat sur les femmes à poils dans les magazines ?

Qu’a vraiment fait Samantha hier? Quelles autres surprises l’attendent ?

Voila autant de questions auxquelles nous nous devons de répondre. C’est à toi dans décider cher lecteur, grâce à tes commentaires, et d’imaginer la suite de cette histoire abracadabrantesque.

CAR CECI EST UN ROMAN FEUILLETON INTERACTIF QUI A BESOIN DE TON IMAGINATION POUR VIVRE.

Les corbeaux et les mouettes

. vendredi 19 octobre 2007
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C’était la saison des labours. Le tracteur traçait inlassablement ses sillons et les socles de sa charrue déchiraient et retournaient la terre. Une traînée de volatiles noirs, s’animait frénétiquement à l’arrière de la machine. Les corbeaux étaient venus nombreux engloutir les graines, les larves et autres vers de terre remontés à la surface par la puissance mécanique. Le banquet bâtait son plein et chacun des convives trouva de quoi se mettre sous le bec. C’était ainsi depuis toujours….

Puis un jour, la procession se bariola un peu. Les ailes noires virent se poser quelques ailes blanches au milieu des sillons foisonnants de nourriture. Des mouettes avaient quitté leurs côtes nourricières pour venir se sustenter des mets tirés des entrailles de la Terre.

- D’où venez vous ? demanda le vieux corbeau.

- Nous venons de l’océan. Répondit la première des mouettes.

- Qu’est-ce que l’océan ?

- C’est une immense étendue d’eau que borde une langue de sable.

- C’est un grand étang ? questionna le vieux corbeau.

- Si l’on veut…mais il monte, puis redescend inexorablement. Il est si grand que jamais aucune mouette n’a pu encore le traverser.

- Croaaahhhh ! s’exclamèrent en chœur les corbeaux. Comme cela doit être beau ! Racontez-nous !

Et c’est ainsi que s’installa une amitié certaine entre les deux peuples. Les mouettes contèrent leurs voyages, entre deux becquetés de vermisseaux. Elles parlèrent des tempêtes sur l’océan, des festins de poissons, lorsque les chalutiers remontaient leurs filets. Elles plaisantèrent longuement sur la migration des deux pattes qui viennent s’allonger sur le sable, chaque été. Les mouettes sont rieuses.

Les corbeaux, étonnés autant qu’intéressés, agrémentèrent leurs questionnements de commentaires avisés et pertinents. Toutes ces conversations sur des contrées lointaines et insoupçonnées, les extirpaient de leurs traintrain monotones. Si bien qu’à chaque nouveau labour, mouettes et corbeaux était heureux de partager les nourritures du corps et de l’esprit. Mais un jour, cela devait changer…

Il y avait de moins en moins de poissons dans l’océan qui avait été vidé par les deux pattes et donc moins de nourriture à prendre dans les filets des chalutiers. Derrière le tracteur, les mouettes furent particulièrement nombreuses à venir se nourrir dans les sillons, ce matin là. On se salua par politesse, mais pas une aile noire ne chercha à entamer la conversation, trop affairés à chercher la bectance de peur d’en manquer. Lorsque le quatre roues quitta le champ retourné. L’activité des oiseaux retomba enfin. C’est alors qu’une aile noire lança ces mots en tançant une aile blanche du regard :

- j’ai faim ! Je n’ai pas le ventre plein, si tu n’étais pas venu manger mon grain, je n’aurais pas encore faim.

- Il reste de la nourriture, répondit l’aile blanche étonnée. Il suffit de chercher un peu plus pour la trouver, c’est tout.

Et la mouette, chercha quelques larves qu’elle présenta au corbeau, qui daigna accepter son offrande sans dire merci. Un petit corbeau prit alors la parole et dit :

- Nous ne pouvons plus accueillir toute la misère du monde. Désormais, il en sera ainsi. Vous attendrez que les corbeaux soient rassasiés et les aiderez à quérir leur nourriture avant de manger. Pendant leur repas, vous leur conterez des histoires pour les distraire. Ainsi, vous nous servirez à quelque chose.

- Mais, pourquoi ? Voila de nombreuses saisons que nous sommes parmi vous et…

- Il suffit ! Même si une mouette, vole, croasse et mange comme un corbeau, ça ne sera jamais un corbeau ! Ca reste une mouette ! Vous êtes chaque années plus nombreuses, c’est une invasion ! Soit vous acceptez nos règles, soit vous retournez sur la côte. Notre champ, soit vous l’aimez, soit vous le quittez !

Voilà à peu près les croassements tenus par le petit corbeau qui les tenait du vieux corbeau borgne. Puis les ailes noires regagnèrent leur arbre où ils croassèrent encore longtemps…

- Avec toutes ces mouettes, on ne se sent plus chez nous !

- C’est vrai, elles ne portent pas les mêmes plumes et certaines savent à peine croasser.

- Il faudrait pouvoir les choisir. Par exemple, ne pourrait venir que celles qui ont de belles histoires à raconter ! Les autres, on n'en a pas besoins chez nous.

- Et elles devraient apprendre le croassement avant d’arriver dans nos champs !

- Ce n’est tout de même pas de leur faute si il y a moins de poissons et de vers de terre…

- Tais-toi ! Si elles étaient moins nombreuses, y en aurait toujours plus pour nous !

- C’est quand même grâce à elles, si nous savons planer aujourd’hui… ce sont elles qui nous ont appris à jouer avec le vent !

- Et alors ça me fait une belle patte ! Dans mon jeune temps, on ne planait pas !

- C'est tout de même grâce à leurs becs puissants que l'on peut percer des coquilles et manger des nourritures qui nous étaient interdites avant !

- Oh tu sais, moi j'ai des problèmes gastrique, alors....

- C’est quand même agréable de les entendre crier. Ca change des croassements.

- Vous les jeunes corbeaux, vous êtes inconscients et plein de bons sentiments, mais c’est pas ça qui va te mettre des graines sous le bec !

- Mais celles qui viennent depuis longtemps, elle sont un peu comme nous tout de même !

- Oui, pour celles-là on peut rien faire, mais les nouvelles, faut les virer et pis c’est tout !

- Oui, mais….

- Ferme ton bec ! C'est quoi cette farine que tu t'es mis sur les ailes?

- Euh...c'est la nouvelle mode...ça fait plus mouette....

- fout-moi l'camp ! p'tit c...


C'est ainsi désormais, entre les ailes noires et les ailes blanches. Ca ne résout en rien les problèmes de corbeaux, ni ceux des mouettes. Bien au contraire...

(Cette œuvre littéraire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des faits, des corbeaux ou des mouettes existants ou ayant déjà existé, n’est que pure coïncidence. Mz Webzine se dégage donc de toute responsabilité)